Comme toute compétition, la course de chevaux a aussi ses favoris. Tant au niveau des entraîneurs que des jockeys et des chevaux. Lors de ces courses, de grandes sommes d’argent et de trophées sont en jeu. Pour les paris, ils sont départagés entre les gagnants tandis que les coupes sont destinées au vainqueur. Au fil des années, les français se sont forgé une renommée internationale dans le domaine.
Les courses en général
Depuis le début des courses de chevaux, le rêve d’un éleveur est d’avoir une bête qui va remporter tous les championnats qui existent. Rares sont ceux qui y parviennent mais certains y arrivent vraiment. En notant que le sexe d’un cheval ne détermine pas forcément son talent. En effet, il y a des femelles qui surpassent les mâles et inversement. Cette pratique ancestrale ne cesse de grimper et fait de plus en plus d’adorateurs, un risque qui peut tout chambouler. C’est même devenu un vrai travail pour faire vivre une famille entière.
De plus, de grandes entreprises se sont vues évoluer avec un chiffre d’affaires qui ne cesse d’accroître grâce aux paris sur les courses. PMU en fait partie, cette enseigne se classe au numéro un des organisateurs de course et des bookmakers du monde entier. Celle-ci a des sous-branches implantées un peu partout, afin de dominer la plus grande partie du marché. Par ailleurs, les meilleurs chevaux sont les descendants des races anglaises, appelés pur-sang. Ils se distinguent par leur forme et hauteur idéales pour courir.
Quelques chevaux qui ont marqué les courses françaises
Lors d’une course, la vitesse étant la première clé de la réussite, n’est pas le seul atout recherché. L’endurance est aussi un maître mot pour garantir la victoire et garder la première place. La combinaison de ces deux critères est ce qu’on catégorise, essentiel. Obo Volo, un cheval célèbre au début des années 90 a remporté plusieurs prix. Il a gagné le premier prix du Luxemburg, de l’Elite Rennen, du grand prix d’Europe, de Bavière et plus encore.
Dans cette même période, Cocktail Jet a fait aussi des éloges en remportant de nombreux trophées. Plus tard, General du Pommeau, un cheval qui n’avait pas de distinction particulière a surpris les spectateurs. Étant de petite taille, qui aurait cru qu’un moteur puissant se cachait en lui. Lui aussi, a raflé plusieurs coupe avant de terminer sa carrière. Vient ensuite Jag de Bellouet, né en 1999. Pas très performant dans ses débuts, il a su se racheter afin de faire plaisir à son entraîneur, Christophe Gallier. Ainsi il a pu se solidifier et a eu plusieurs trophées et compétitions.
Portant le nom de Ready Cash, le cheval a connu des hauts et des bas. Avec une première victoire à 2 ans, il a empilé des coupes avant de tomber dans un gouffre qu’il ne tardera pas à surmonter. Des chevaux favoris ? la France en est riche. Il reste encore des noms connus dans le domaine tels Fandango, Fuchsia, Idéal du Gazeau et bien d’autres.